C'est le souvenir croisé d'un soir de tournage et d'une ballade champetre entre metro et buildings, ou l'on aperçoit au loin devant soi une rue mystique ou l'alchool coule a flot depuis des lustres, ou l'atmosphere semble suspendue aux rires desinnibés par la biere kirin et le sake de l'ouest de kyoto, pendue encore aux levres d'une meneuse de soirée, un maz space 12 en main, un groupe embrumé dans la decouverte béate d'endroits sortis de nos extrapolation de gamins rivtés à une unique chaine de television, pour une decennie, fenetre sur l'autre rive, celle de nos envies, celle de nos besoins.
Si c'est thom york qui gemit dans nos oreilles, c'est que son desespoir y est ancré loin de lui et si c'est le générique français et ericmarianoisant d'un certain grendiser qui debute en fade in dans nos tetes, c'est normal.....
